Voilà à quoi ressemble la fin d’un voyage au Japon décidé à l’arrache :
– Plein de cassettes de tournage en bordel à dérusher
– Deux cartons à envoyer par la poste
– Des peluches à écraser dans la valise (pourquoi avoir acheté des peluches, bordel ?)
– Des cadeaux fragiles à ne pas écraser dans la valise
– Du linge sale à… je sais pas, se foutre dans le cul (seul endroit où il reste de la place)
Et bien sûr, une tonne de papier imprimé à rentrer dans tous les sens pour que tout ça tienne. Le tout sans balance, s’il vous plaît !
D’où, conclusions :
1) Vivement le livre électronique
2) Je suis bien content de ne pas être un otaku de figurines en plomb !
Par contre si quelqu’un a des stocks de pâtes alimentaires, je suis preneur pour survivre le mois prochain ! Je mettrai un lien « Pâtepal » à mon retour.
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